Pois de printemps

Diagnostic pathologique sur matériel végétal

Réalisation d’un diagnostic par observations macroscopique et microscopique, complété si nécessaire d’une recherche par analyse moléculaire et/ou par un isolement du micro-organisme pathogène sur milieu de culture. Les résultats sont transmis sous la forme d’un rapport.

Tarif : à partir de 268€ H.T

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Méthode utilisée : méthode interne 
Méthode utilisée : NF EN ISO 658
Méthode utilisée : NF EN ISO 665
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Laboratoire de génétique et protection des cultures du Rheu

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Maladies Colza Tournesol Pois d'hiver Pois de printemps Pois chiche Lentille Soja Chanvre Féverole d'hiver Féverole de printemps Lin d'hiver Lin de printemps Lupin d'hiver Lupin de printemps Cameline Sur devis

Insectes ravageurs : caractérisation de la sensibilité aux pyréthrinoïdes

Détermination de la sensibilité à la lambda-cyhalothrine de populations de grosses altises, de petites altises, de méligèthes, de différentes espèces de charançons du colza, et de différentes espèces de bruches (de la féverole, du pois ou de la lentille). 

Tarif : A partir de 305€ H.T. par gamme

Pour chaque population (1 population = 1 lieu de prélèvement à une date donnée), les insectes sont mis en contact avec l’insecticide afin de déterminer leur sensibilité à différentes doses de référence. Un pourcentage de mortalité est déterminé pour chaque dose testée, et un calcul de la DL50 est réalisé si les résultats le permettent. Les résultats sont transmis sous la forme d’un rapport.

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Ravageurs Colza Féverole d'hiver Féverole de printemps Pois de printemps Pois d'hiver Lentille Sur devis

Tarif : A partir de 305€ H.T. par gamme

Légumineuses à graines : un progrès en marche pour mieux les cultiver et les utiliser

Ce mardi 4 novembre, Terres Inovia, en collaboration avec Terres Univia et avec le soutien de Plant2Pro, organise un colloque sur les légumineuses, à Paris. Agriculteurs, acteurs de la recherche et de la filière s’y presseront pour connaître les dernières avancées de la recherche, les leviers techniques à mobiliser et les formidables atouts de ces espèces dans les assolements. Le point avec Véronique Biarnès et Xavier Pinochet, experts de Terres Inovia. 

 

500 000 ha de légumineuses à graines en France en 2025

•    Soja : 150 357 ha
•    Pois : 149 866 ha
•    Féverole : 112 285 ha
•    Lentille : 33 979 ha
•    Pois chiche : 26 134 ha
•    Lupin : 3790 ha

 

Gilles Robillard, introduit le sujet de la journée

Pourquoi Terres Inovia organise un colloque sur les légumineuses à graines ?

Véronique Biarnès (VB) et Xavier Pinochet (XP) : jusque-là, nous avions mis en place un colloque sur le pois et la féverole. Organisé à deux reprises, c'était un rendez-vous apprécié de la filière. Cette fois-ci, nous avons voulu élargir à toutes les espèces de légumineuses à graines et mettre l’accent sur la construction de filière. L’objectif est de montrer que les travaux pour améliorer la productivité et les débouchés sont particulièrement dynamiques. Les choses bougent : des moyens conséquents sont mis sur le terrain pour augmenter les rendements et améliorer les utilisations des produits à base de légumineuses. Les filières se structurent, mais sur un temps long.

Un investissement conséquent pour les légumineuses 

•    Près de 100 Millions d’euros investis dont 50% d’aides publiques
•    Près de 300 Partenaires impliqués dans une dizaine de projets nationaux et européens
•    Des résultats diffusés entre 3 et 6 ans 

 

Pourquoi faut-il s’intéresser aux légumineuses ? 

V.B et X.P : au-delà de leurs atouts nutritionnels et environnementaux, la demande des consommateurs est croissante, comme le montre l’Observatoire OléoProtéines réalisé par Terres Univia, qui décrypte chaque année les produits à base de protéines végétales pour l’alimentation humaine. 

Des produits appréciés par les consommateurs

Le top 3 des ventes en commerce de détail des légumineuses à graines (en valeur) : 


1. Légumes secs appertisés (+16%)
2.Alternatives végétales (+14%)
3. Snacks apéritifs salés (+13%)

Source : Observatoire OléoProtéines 2024, ventes en valeur dans le commerce de détail

 

Quels leviers permettraient aujourd’hui de développer davantage l’utilisation des légumineuses ?

V.B et X.P : une meilleure connaissance de la composition des graines permet d’identifier les plus adaptées selon différents usages. Par exemple, pour la féverole, les travaux sur le décorticage permettent d’éliminer en partie les bruches, de donner une valeur ajoutée aux graines et d’ouvrir de nouveaux débouchés en alimentation humaine. Ainsi, les procédés technologiques constituent des leviers essentiels.

 

Pour le producteur, ces espèces peuvent-elles être compétitives ? 

V.B et X.P : souvent, les agriculteurs hésitent à cultiver les légumineuses car elles peuvent être sensibles aux aléas climatiques et apporter un rendement plus faible. Mais il ne faut pas regarder la compétitivité des légumineuses de manière isolée. L’azote symbiotique qu’elles apportent a un effet important sur les autres cultures de la rotation. A l’échelle du système de cultures, elles peuvent donc être compétitives en améliorant le rendement des cultures suivantes, à condition de les positionner dans des sols et des climats adaptés. L’insertion de ces cultures dans les systèmes doit donc être raisonné pour valoriser au mieux les services qu’elles peuvent apporter. Des exemples de systèmes intégrant des légumineuses montrent qu’ils peuvent avoir une performance à la fois économique, environnementale et sociétale.

Pour bien les cultiver, il existe aussi des leviers à actionner ? 

V.B et X.P : oui, car du fait de la fixation symbiotique de l’azote qu’elles apportent, elles peuvent être sensibles aux stress hydriques et thermiques. Les innovations qui sont menées vont pouvoir améliorer la sensibilité des légumineuses aux facteurs extérieurs : la génétique permet de développer des variétés qui s’adaptent mieux aux aléas climatiques. On a montré, avec des travaux récents, que des espèces ou des variétés de légumineuses peuvent réagir différemment en conditions hydriques limitantes. Avec ces avancées de la recherche, ces espèces pourront être mieux positionnées selon leur potentiel dans les bassins de production en établissant une cartographie pour développer les surfaces. La recherche sur les maladies racinaires progresse aussi : certaines légumineuses sont plus résistantes dans certaines situations. Pour la bruche, si le contrôle au champ reste difficile, des méthodes de stockage vont permettre d’éviter qu’elles prolifèrent. 

 

Il faut donc regarder les légumineuses avec une vision à long terme ?

Oui car les bénéfices dans un système ne sont pas immédiats, il faut attendre plusieurs années. Il en est de même pour la contractualisation. Il faut s'adapter au fil du temps, tisser des liens durables entre tous les maillons de la chaîne, basés sur la confiance qui s’établit sur le long terme. Il faut aussi qu’il y ait une prise en charge partagée du risque lié à la variabilité des rendements.

 

En savoir plus 

Quelques exemples de projets sur les légumineuses à graines : 

Cap Protéines+

Insérez Les

LetsProSeed

Resobruche

Peamage

Jack

France entière Débouchés Choix variétal Atouts de la culture Pois d'hiver Pois de printemps Féverole d'hiver Féverole de printemps Soja Lentille Pois chiche Lupin d'hiver Lupin de printemps colloque debouchés feverole lentille légumineuses pois progrès génétique recherche soja

Cooperea : relocaliser les protéines végétales pour les élevages

 

Dans le cadre du Sommet de l’élevage, la Coopération Agricole Auvergne-Rhône-Alpes, Cooperea a été présenté lors d'une conférence de presse, le 10 octobre dernier. Ce projet multipartenarial ambitieux, qui mobilise l'institut technique Terres Inovia, vise à relocaliser la chaine d’approvisionnement en protéines végétales pour la ration des animaux d’élevage en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Produire des graines d’oléagineux et des tourteaux riches en protéines sur le territoire de la 
région Auvergne-Rhône-Alpes, travailler sur la réduction de la consommation des tourteaux 
par les élevages et substituer les tourteaux d’importation par des tourteaux locaux : tels sont 
les principaux objectifs du projet Coopeara.

Le projet réunit 21 partenaires (15 coopératives et 6 organismes techniques dont Terres Inovia et 
l’Institut de l’élevage) où l’ensemble des maillons de la filière alimentation animale coopérative
régionale est représenté pour relocaliser la production de protéines végétales destinées à 
l’alimentation animale. 

L’objectif est de réduire la dépendance actuelle de la filière régionale aux importations de soja
(passer de 95 % actuellement à 60 % fin 2028) et de tournesol (passer de 58 % actuellement à 50 % fin 2028) et de réduire l’empreinte carbone de la filière en allant chercher dans le cadre de ce projet une réduction des émissions de gaz à effet de serre estimée à 10 620 tonnes équivalent CO₂/an (transport et moindre utilisation d’engrais azotés).

Deux volets techniques principaux sont poursuivis dans le cadre du projet :
• Produire des graines d’oléagineux soja, colza et tournesol en région Auvergne-RhôneAlpes ; avoir des usines de trituration à pression mécanique performantes et optimisées pour 
les triturer et produire localement des tourteaux riches en protéines (soja, colza et 
tournesol).

Trois usines de triturations sont au cœur du dispositif :
- Usine de UCAL protéine dans l’Allier (30 000 T de graines/an triturées)
- Usine de OXYANE en Isère (30 000 T de de graines/an triturées)
- Usine de NUTRALP dans l’Ain (15 000 T de graines/an triturées)


• Renforcer l’autonomie alimentaire sur les élevages de notre région pour réduire la 
consommation de tourteaux et remplacer les tourteaux d’importation par des tourteaux locaux, avec le recrutement et la structuration d’un réseau de 58 fermes pilotes constitué sur 4 
espèces :
• 27 fermes bovins lait
• 17 fermes bovins viande
• 10 fermes ovins viande
• 3 fermes porcines
• 1 ferme caprine

Une cartographie des exploitations sur la localisation et l'origine des protéines consommées a été réalisée. 
 

Plus d'informations sur le projet

France entière Débouchés Colza Tournesol Pois d'hiver Pois de printemps cooperea protéines végétales élevage

Traitement de semence mildiou sur pois et féverole d’hiver et de printemps – dérogation 120 jours - LUMISENA

Depuis le retrait d’autorisation de mise sur le marché de la spécialité WAKIL XL pour des usages plein champ, les pois protéagineux et la féverole restaient sans solution de traitement de semence contre le mildiou.

En cas d’attaque primaire, due à des oospores (formes de conservation) présentes dans le sol, des foyers de maladies apparaissent, au sein desquels les plantes sont nanifiées et de couleur vert pale. Les pertes de pieds et donc de rendement peuvent être importantes en cas d’infestation précoce et de forte intensité.

Présence de mildiou sur une feuille de pois de printemps

Ces attaques sont principalement observées sur protéagineux de printemps, chez qui ce pathogène constitue la menace la plus préjudiciable en début de cycle. Cela est un peu moins le cas pour les protéagineux d’hiver, pour lesquels les conditions climatiques sont moins favorables à l’expression du pathogène en attaque primaire.

La demande de dérogation 120 jours (art53 REG 1107/2009) déposée le 2 juillet 2025 par Terres Univia et Terres Inovia au niveau des services du ministère de l’Agriculture a reçu un avis positif.

La spécialité commerciale LUMISENA, traitement de semence efficace contre le mildiou, bénéficie donc d’un usage dérogatoire pour la campagne 2026 : 

Usage : graines protéagineuses*Trt Sem*Champignons (pythiacées)
Semences traitées utilisables du 15/11/2025 au 15/03/2026 (120 jours)
uniquement pour le pois protéagineux et la féverole

 

Autorisé aux doses suivantes (cf. tableau ci-dessous), LUMISENA est compatible avec PREPPER pour une utilisation sur pois et apporter une protection complète des semences, à la fois contre le mildiou (via le LUMISENA) et aussi les pathogènes responsables des fontes de semis (pythium) et les genre Ascochyta sp. et Fusarium sp. (via le PREPPER). PREPPER n’est pas recommandé par CERTIS-BELCHIM sur féverole.

Culture Dose (ml/q)
Pois protéagineux* 16,5 ml/q
Féverole* 8,7 ml/q

*Traitement des semences uniquement en stations industrielles fixes ou mobiles. 

​​​​​​​Contacts : Franck DUROUEIX (f.duroueix@terresinovia.fr); Gwénola RIQUET (g.riquet@terresinovia.fr)

France entière Maitrise des maladies Féverole d'hiver Féverole de printemps Pois d'hiver Pois de printemps lumisena mildiou féverole mildiou pois

Rencontre Proléobio Centre & Ouest 2025 : le replay du webinaire disponible !

Chaque année, Terres Inovia et ses partenaires organisent les rencontres Proléobio dont l'objectif est de permettre aux conseillers et techniciens d’échanger sur les pratiques innovantes et les résultats de l’année des oléoprotéagineux en Agriculture biologique (AB).

Le 10 octobre s'est tenu un webinaire Proléobio pour la zone Centre et Ouest dont voici le programme et les points à retenir.

​​​​​​​

1. Conjoncture de la filière des oléoprotéagineux en AB par Claire Ortega, Terres Univia

  • Une hausse de la collecte malgré la baisse de la demande entraîne de forts excédents de production en 2023/24.
  • Les conditions climatiques entraînent un fort retrait de la collecte alors que la demande semble repartir en 2024/25 : des bilans “assainis”.
  • Une amélioration de la situation après deux campagnes difficiles : importance de maintenir une bonne adéquation offre/demande (exemple du tournesol), y compris sur les petits marchés (exemple de la lentille). 
  • Des défis techniques sur les légumineuses à graines pour des performances plus stables.
  • Importance de contractualiser ou à minima communiquer ses volumes auprès de son OS pour permettre une bonne lecture du marché. 

2. Enjeux de la multiplication des semences de protéagineux en bio par Jerôme Fillon de Axereal Bio

  • Répondre aux attentes des marchés : suivre avec les services collecte les besoins des transformateurs, être réactif pour la contractualisation des producteurs.
  • Mettre en avant les variétés adaptées à l’AB : choisir parmi les variétés proposées par les obtenteurs, essais variétés pour évaluation en condition bio, tests en parcelles agriculteurs, suivi des parcelles de multiplication.

3. Résultats des essais variétés et itinéraire technique féveroles d’hiver et des printemps semés à l’hiver par Cécile Legall, Terres Inovia (la présentation sera diffusée ultérieurement)

4. Valorisation des protéagineux en alimentation humaine : enjeux de la création d’une filière Féverole et Pois AB par Sebastien Courtois, Ufab

Un défi de structuration de la filière pour développer des partenariats durables entre producteurs, transformateurs et utilisateurs finaux :

  • synchroniser les développements production – besoins,
  • structurer les flux du champ à l’assiette,
  • sécuriser la filière avec une trajectoire triptyque,
  • volumes – prix – qualités

Visionnez le replay !

Contacts : Cécile Le Gall, c.legall@terresinovia.fr et Thomas Mear, thomas.mear@terresinovia.fr​​​​​​​

 

Poitou-Charentes, Vendée, Limousin Bretagne, Pays de la Loire Centre-Val de Loire Normandie et Ouest Ile-de-France Agriculture biologique Pois d'hiver Pois de printemps Lupin d'hiver Lupin de printemps Soja Féverole d'hiver Féverole de printemps agriculture biologique proleobio Oui

Optimisation de la trituration et de l’extraction mécanique des graines oléo protéagineuses

Optimisez vos procédés d’extraction mécanique ! 2 jours à Pessac pour maîtriser qualité des huiles & tourteaux, outils numériques et retours terrain. Formez-vous avec un expert et boostez vos performances industrielles. Inscriptions ouvertes !

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Découvrez toutes les formations en grandes cultures proposées par Arvalis et Terres Inovia.

Approfondissez votre maîtrise des procédés de trituration et de l'extraction mécanique des graines oléo protéagineuses.

Cette formation vous permettra d'analyser finement les impacts des paramètres de procédés sur la composition chimique des huiles (acides gras, phospholipides, indésirables) et sur la qualité nutritionnelle des tourteaux (digestibilité, facteurs antinutritionnels). Elle intègre les dernières avancées en extraction mécanique et propose une approche appliquée pour optimiser les performances de déshuilage et répondre aux exigences techniques des filières industrielles.

 

Au programme :

Jour 1 : Fondamentaux et pratiques de l'extraction mécanique des graines oléagineuses

  • La Chimie des huiles : acides gras, les triglycérides, les phospholipides, les stérols et phytostérols, les cires. Propriétés, risques d'altération
  • Généralité sur les graines & décorticage avec un focus tournesol : décorticage, variabilité de la qualité des huiles liées aux conditions de culture et aux variétés
  • Mécanique de l'extraction : compression, filtration, viscosité, géométrie des presses
  • Visite atelier : étude de presse, outils d'analyse, cas pratique
  • Retours d'expérience & étude de cas

 

Jour 2 : Traitements thermiques, qualité des produits et optimisation industrielle

  • Mécanique de la cuisson
  • Importance de la cuisson
  • Traitements thermiques & Qualité de l'huile et des tourteaux
  • Retours d'expérience & étude de cas
  • Outils d‘optimisation du procédé

A l'issue de la formation, les participants seront capables de :

  • Identifier les principales caractéristiques chimiques et nutritionnelles des huiles issues des graines oléagineuses
  • Analyser les effets des procédés de trituration sur la qualité des huiles et des tourteaux
  • Expliquer le fonctionnement des procédés d'extraction mécanique et leurs paramètres critiques
  • Évaluer l'adéquation des produits transformés aux besoins des utilisateurs finaux (nutrition animale, industrie)
  • Utiliser des outils numériques pour simuler, prévoir et optimiser les performances de production

Apports théoriques et techniques en salle : présentations détaillées des fondamentaux (chimie des huiles, mécanismes d'extraction, paramètres critiques), illustrées par des schémas et données scientifiques.

Études de cas concrets et retours d'expérience : analyse de situations industrielles réelles, partage de bonnes pratiques et discussion des solutions.

Visite d'atelier pratique : observation des équipements (presses, outils d'analyse), démonstration des procédés, manipulation des paramètres et analyse des résultats en temps réel.

Échanges interactifs : sessions de questions-réponses, quiz pour valider les acquis, débats entre participants et formateur.

Supports d'exposés remises aux participants : documents papier ou numériques : présentations, schémas, données clés, bibliographie.

Outils numériques d'optimisation : utilisation de logiciels (Excel, solveur) pour simuler et optimiser les procédés.

Cas pratiques : mise en situation sur des problèmes industriels, analyse collective des solutions.

Visite atelier : possibilité de faire une demi-journée d'atelier pour voir les effets des paramètres pilotables sur les performances de déshuilage.

Responsables techniques, opérateurs ou responsables d'unités de trituration, professionnels de la transformation agro-industrielle, ingénieurs R&D, techniciens procédés. Quiz en fin de session, questions-réponses, enquête de satisfaction individuelle, auto positionnement

Pour toute demande d'adaptation pour vous permettre la réussite de votre parcours, merci de contacter le référent handicap :

Christel CARO

Tél : 01 30 79 95 09

Mail : c.caro@terresinovia.fr 

Aucun 960€ TTC 5 15 https://public.dendreo.com/4rsx27tf4npws6tp4zAwc/media/3r5dg5tsgb2wc7dcgrgAqns5krxvAA5A3vAvql5v4zrts86jlj62q9ty48lf2mty3qxx4pj5hj6A4rrwmnmxql6t48Ag3ztAfnhx4mdygb52cpj8 2 Jours Patrick CARRE 48 Inter-entreprise et intra-entreprise

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Au programme :

Identification des maladies :

  • Présentation des symptômes des maladies courantes du pois et de la fèverole à l'aide de supports visuels (documents photographiques et échantillons de plantes malades)
  • Étude des maladies aériennes et racinaires

 

Connaissances épidémiologiques :

  • Compréhension des cycles biologiques des agents pathogènes
  • Conditions climatiques et culturales favorisant le développement des maladies
  • Notions sur la dynamique des épidémies (sources d'inoculum, période de contamination, survie des pathogènes dans le sol ou sur les résidus) 
  • Influence des pratiques agricoles (rotation, travail du sol, semis, variétés) sur les risques épidémiologiques

 

Méthodes de gestion des maladies :

  • Stratégies préventives : choix variétal, gestion des résidus, implantation des cultures, pratiques culturales adaptées
  • Apport des outils d'aide à la décision (OAD)
  • Raisonnement de l'utilisation des fongicides : seuils d'intervention, fenêtres de traitement…

A l'issue de la formation, les participants seront capables de :

  • Identifier et distinguer les principales maladies du pois et de la fèverole, qu'elles soient aériennes ou racinaires
  • Identifier les risques de confusion entre maladies similaires et adopter une vigilance accrue
  • Comprendre et analyser les facteurs de risque des maladies des légumineuses
  • Sélectionner et mettre en œuvre des mesures de gestion adaptées aux différentes situations de maladies

Format hybride (1 journée)

  • Partie théorique : Apports techniques, études de cas, quiz interactifs via Teams.
  • Pratique sur le terrain : Analyse de parcelles, observation de stades de développement, diagnostic d'accidents culturaux, échanges avec le formateur.

Méthodes actives : Exposés, quiz, débats, observation de maladies, échanges d'expériences.
Évaluation : Quiz, reconnaissance de maladies sur support ou en parcelle (selon saison), questions-réponses, enquête individuelle de satisfaction, auto positionnement.

Supports théoriques : Exposés illustrés, présentations visuelles, documents photographiques, supports écrits remis aux participants.

Outils de diagnostic : Échantillons de plantes malades, grilles de reconnaissance, outils d'aide à la décision pour la gestion des maladies.

Observation pratique : Reconnaissance de symptômes sur échantillons ou en conditions réelles (selon saison).

Échanges de pratiques : Discussions, retours d'expérience entre participants et formateur, études de cas.

Techniciens et conseillers agricole, Agriculteurs et producteurs, Enseignants et formateurs agricoles, Responsables agronomiques et technico-commerciaux de la distribution agricole Quiz, reconnaissance de maladies sur support ou en parcelle (selon saison), questions-réponses, enquête individuelle de satisfaction, auto positionnement.

Pour toute demande d'adaptation pour vous permettre la réussite de votre parcours, merci de contacter le référent handicap :

Christel CARO

Tél : 01 30 79 95 09

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Aucun 480€ TTC 5 15 https://public.dendreo.com/4rsx27tf4npws6tp4zAwc/media/m7zxArcg4ffvqtjrk2zf47sw3nlcwvlkmrAt2z5yjvt2gmjp481x1qrv48gf2vcbpf3t3pj5hjng3mjxjm5wyvk3kjfgczdgnvcdc5d4lj5g4pj8 1 Jour Anne MOUSSART 23 Inter-entreprise et intra-entreprise

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Expérimentations de systèmes agroécologiques pour un usage des pesticides en ultime recours Biodiversité
French
Colza Tournesol Pois de printemps Pois d'hiver Pois chiche Lentille Soja Chanvre Féverole d'hiver Féverole de printemps Lin d'hiver Lin de printemps Lupin d'hiver Lupin de printemps Cameline

OFB

1 200 000€

60 mois Oui National

Les enjeux

Les différentes crises (Covid, guerre en Ukraine) ont posé la question de la nécessité d’accroître la souveraineté de la France en protéines et de réduire sa dépendance aux importations. Les consommateurs réclament, en outre, des productions plus locales et respectueuses de l’environnement. Or, la France dispose d’une filière colza structurée.

L’enjeu du projet Decoproze est donc de tester et déployer à l’échelle territoriale une solution de « colza avancé », qui doit permettre de contribuer à la souveraineté protéique de la France. Elle pourra constituer un levier de la transition agricole et de la souveraineté protéique de la France grâce à création de valeur à l’aval et à son partage à tous les maillons de la chaîne de production.

Les objectifs

Le projet vise à développer un démonstrateur de filière « colza avancé » permettant d' : 
•    Améliorer de 20 % la teneur en protéines des tourteaux de colza et de réduire de 25 % leur teneur en fibres.
•    Accélérer le déploiement de nouveaux modes de production à grande échelle grâce à des outils numériques facilitant la combinaison de leviers agronomiques.
•    Mettre en œuvre un modèle économique viable rémunérant les pratiques durables de produire un colza durable riche en protéines à travers des modes de culture agroécologiques. 

Les résultats attendus

•    Permettre à la filière colza française d’accroître significativement l’autonomie protéique de la France et de réduire la dépendance aux importations de soja;
•    Diminuer drastiquement les émissions de gaz à effet de serre et l’usage d’intrants chimiques et minéraux tout en améliorant la teneur en protéines; 
•    Permettre le développement de marchés valorisant la qualité et la durabilité. 

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Sujet

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Pois, féverole, pois chiche, soja, lentille… sur tout le territoire, un réseau d’expérimentation renforcé sur ces cultures a déjà mené une soixantaine d’essais réalisés par Terres Inovia et ses partenaires. Ils contribuent à acquérir de nouvelles références techniques pour sécuriser la production de légumineuses à graines. 

Au total, une vingtaine de leviers sont étudiées, comme le désherbage mécanique, la lutte biocontrôle, l’association de légumineuses et de céréales, le décalage des dates de semis …. 

Les expérimentations se poursuivent en 2026 pour identifier et transférer des leviers de robustesse des légumineuses aux producteurs. 

 

Des protéines locales pour l’alimentation animale

Les filières végétales et animales se mobilisent pour favoriser l’utilisation de protéines végétales locales dans les élevages, avec des premiers résultats : 

En complément de ces références technico-économiques, des entretiens auprès de transformateurs, distributeurs, et consommateurs démarrent cet automne dans trois territoires Hauts-de-France, Bretagne-Pays de la Loire, et la Nouvelle-Aquitaine. L’objectif ?  Mesurer leurs sensibilités et leur consentement à payer pour des produits issus d’élevages alimentés avec des matières premières locales. Les résultats sont attendus pour fin 2026. 

Des légumineuses dans nos assiettes

L’observatoire OléoProtéines, soutenu dans Cap protéines+, illustre la progression en 2024 de l’utilisation des légumineuses en alimentation humaine, en particulier dans les conserves, les farines et les tartinables.

Pour soutenir cette dynamique, les partenaires misent sur l’apport d’outils pour proposer des protéines végétales de qualité qui répondent aux besoins des filières et sur l’innovation dans les procédés de transformation contribuant à favoriser de nouveaux débouchés pour les producteurs.

Pour cela, les partenaires cherchent à répondre notamment à ces questions :

  • Coques, pellicules, eau de cuisson, … quelle valorisation de ces coproduits de légumineuses pour apporter de la plus-value à ces graines ?
  • Quelles farines de légumineuses pour un pain enrichie en protéines ? 
  • Quelles variétés de lentille et pois chiche pour limiter le temps de cuisson ? 

Accompagner sur le terrain les agriculteurs et leurs conseillers

Avec le Comité technique légumineuses à graines Ouest, organisé le 24 avril 2025 à Bourges (Terres Inovia) 

L’accompagnement sur le terrain des leviers de production des légumineuses et de l’autonomie protéique s’appuie sur un réseau d’une centaine de partenaires de la distribution et du conseil agricole.

Ils ont animés au cours de cette première campagne du projet : 

  • 80 collectifs d’agriculteurs, mobilisés au fil de la campagne, pour partager leurs expériences et mettre en pratique des leviers de robustesse des légumineuses et de l’autonomie protéique ;
  • 15 plateformes de démonstration, qui illustrent les leviers de gestion des légumineuses à graines ;
  • 6 observatoires de soja, féverole et pois chiche suivis, pour acquérir de l’expertise sur ces cultures dans divers contextes de production.

De plus, 6 comités techniques spécifiques aux légumineuses ont été créés. Animés par les ingénieurs développement de Terres Inovia, ces rendez-vous annuels fédèrent les acteurs en régions pour partager les références acquises et co-construire des travaux communs. 

 

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Le transfert passe également par la production d’outils et de supports utilisables par les conseillers et les agriculteurs : 

Dans les prochains mois, cette boite à outils sera complétée, notamment avec des supports économiques (compétitivité du soja et de la féverole) sur les services rendus à l’échelle de la rotation par les légumineuses.

A mi-parcours, Cap protéines+ s’appuie donc sur la mobilisation des partenaires et la synergie entre filières végétales et animales pour avancer à un rythme soutenu, complémentaire avec une dynamique plus large de projets R&D en faveur de la souveraineté protéique.

 

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