Le fonctionnement biologique du sol passé en revue
Les partenaires du RMT Bouclage, dont Terres Inovia fait partie, viennent de publier un ouvrage qui balaie les forces et faiblesses de 22 indicateurs de fonctionnement biologique du sol pertinents pour le conseil agricole.
Bien qu’il soit désormais possible d’élargir l’analyse de terre d’une parcelle à sa composante biologique, il n’est pas toujours facile de sélectionner et mobiliser des indicateurs pertinents pour le conseil agricole. Pour s’y retrouver, les partenaires du RMT Bouclage proposent de balayer les forces et faiblesses de 22 d’entre eux dans un recueil dédié.
L’objectif de ce recueil est de recenser les principaux indicateurs de fonctionnement biologique, mobilisables pour le diagnostic, le suivi et le conseil en situation agricole. Grâce à une méthodologie rigoureuse alliant collecte structurée des informations, rédaction collaborative et validation croisée par des experts, ce recueil offre une synthèse claire, fondée sur des données objectives, disponibles et partagées acquises avec des méthodes actuellement disponibles pour les gestionnaires des sols.Il est un support indispensable en prise avec l’actualité et présente les derniers savoir-faire pour gérer durablement son sol et piloter sa fertilité.
Renseigner les fonctions attendues d'un sol
Les indicateurs proposés visent en priorité à renseigner certaines des fonctions attendues d’un sol : recyclage des nutriments, transformation du carbone et maintien de la biodiversité. Ces fonctions ne sont pas les seules à être évaluées dans une approche de multifonctionnalité des sols, mais sont considérées aujourd’hui comme les plus informatives pour les gestionnaires des sols en contexte de diagnostic en milieu agricole. Certains indicateurs permettent également d’évaluer la capacité à entretenir la structure du sol, en complément des méthodes d’observation au champ.
Ce panorama est destiné aux acteurs du conseil et du diagnostic de qualité des sols, afin de les aider à sélectionner les indicateurs les plus pertinents à déployer selon leurs problématiques spécifiques.
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Bouclage : recyclage, fertilisation et impacts environnementaux Le RMT Bouclage s’inscrit dans le cadre de l’économie circulaire, à l’interface entre l’agroécologie et la bioéconomie. Son programme de travail vise à soutenir la mise en oeuvre du volet agricole de la feuille de route pour l’économie agricole (Frec), rendu public par le ministère de l’Agriculture, de l'Agro-alimentaire et de la Souveraineté alimentaire début 2019. Il a pour objectif de produire des références, méthodes et outils pour mieux accompagner les différentes acteurs concernés (agriculteurs, conseillers agricoles, formateurs, gestionnaires des ressources et territoires, pouvoirs public), dans les changements de pratiques et de choix stratégiques opérés, en vue d’un meilleur bouclage des cycles biogéochimiques, d’une gestion durable des ressources en agriculture et d’une meilleure maîtrise des risques d’impacts environnementaux et sanitaires. Animé par l’Acta et Inrae, ce RMT réunit 44 partenaires parmi lesquels les instituts techniques agricoles dont Terres Inovia, des acteurs de la recherche et de l’enseignement, des chambres d’Agriculture. |
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Pour aller plus loin Projet Transi'Sols : des tableaux de bord qui évaluent les services attendus de la fertilité des sols - Une démarche en co-construction pour piloter la transition agroécologique (2023) Poster & Résumé Fertilité des sols : des tableaux de bord pour adapter ses pratiques pas à pas, Perspectives Agricoles 516 (2023). Pour en savoir plus sur la fertilité des sols : Pilotez la fertilité des sols avec des tableaux de bord Présentation colloque 2024 International Soil Tillage Research Organisation Conference (Istro). Webinaire RTTI - Les indicateurs opérationnels de fonctionnement des sols : retours d’expériences - 29 octobre 2024 A noter dans vos agenda : la journée technique pour les 10 ans du GIEE Magellan se tiendra le 18 novembre 2025 dans la Nièvre. |
Contacts : Anne-Sophie Perrin, as.perrin@terresinovia.fr
Documents à télécharger
Pilotez la fertilité des sols avec des tableaux de bord
Dans le cadre du projet Transi’Sols, Terres Inovia et ses partenaires proposent des outils de pilotage de la fertilité des sols.
Terres Inovia développe depuis plusieurs années différentes méthodologies d’accompagnement des agriculteurs basées sur les tableaux de bord. Ces outils de pilotage stratégique ont d’abord été utilisés pour accompagner la mise en place des démarches Colza robuste puis Tournesol robuste. Aujourd’hui, dans le cadre du projet Transi’Sols, l’institut et ses partenaires ont mis au point puis expérimenté sur le terrain des tableaux de bord sur la fertilité des sols.
Pourquoi des tableaux de bord sur la fertilité des sols ?
Les pratiques agroécologiques visent à augmenter la fertilité des sols. Chaque exploitation doit cependant adapter les pratiques à son contexte pédoclimatique et à ses moyens de production (disponibilité du matériel, etc.).
Les agriculteurs doivent donc être les concepteurs de leurs propres systèmes. Pour y parvenir, les agriculteurs et les conseillers ont besoin de connaissances accessibles sur le fonctionnement des sols et d’outils opérationnels pour évaluer l’impact des changements de pratiques. Mais ces ressources restent souvent difficiles d’accès.
La méthodologie issue du projet Transi’Sols permet aux agriculteurs de concevoir, tester et ajuster leurs stratégies en continu, en suivant l’évolution de leurs sols, avec l’accompagnement de leur conseiller. L’objectif est qu’ils progressent pas à pas dans l’amélioration de la fertilité sur leur exploitation. Elle permet également une montée en compétences car les outils développés incluent des ressources sur le fonctionnement des sols adaptés au conseil agricole et aux agriculteurs.
Un outil coconstruit avec des agriculteurs
Il n’existe pas un tableau de bord mais des tableaux de bord. Chaque tableau de bord est différent en fonction:
- du résultat final attendu,
- du contexte pour lequel il a été produit.
Dans le cadre du projet Transi’Sols, les tableaux de bord produits ont été construits avec des agriculteurs. Ces agriculteurs appartenaient à différents réseaux, animés par Terres Inovia ou ses partenaires.
Carte des sols dominants de France et localisation des réseaux d’agriculteurs impliqués
dans le projet. 1) Réseau Haut-de-France 2) GIEE Magellan 3) Réseau Syppre Berry
4) Réseau d’Agrod’Oc 5) Réseau Syppre Lauragais et 6) GIEE Agro réseau 64.
Chaque réseau s’est focalisé sur une problématique, qui est le point de départ de la démarche :
- un sol avec une structure optimale : réseau Syppre Lauragais (animé par Terres Inovia), (animé par la CA 64), réseau Hauts-de-France (animé par AgroTransfert et Terres Inovia) ;
- un sol qui permet une bonne alimentation azotée des cultures : réseau Syppre Berry (animé par Terres Inovia), GIEE Magellan (animé par Terres Inovia) et réseau Agrod’Oc (animé par Agrod’Oc) ;
- un sol qui permet une bonne alimentation hydrique : GIEE Agro réseau 64 (animé par la CA 64).
La première étape ne concerne pas les pratiques à tester, mais le résultat final attendu par les agriculteurs. Plusieurs sessions de réflexion collective ont été nécessaires pour approcher quel(s) service(s) étaient réellement attendus de la part des sols.
La deuxième étape a été de définir les états clés permettant d’atteindre ce résultat attendu et leurs relations de cause à effet. Ces états clés représentent les états du milieu ou de la plante qui sont identifiés comme les plus importants pour le contexte regardé. Pour chaque état clé a été défini un ou plusieurs indicateurs d’évaluation. A la fin seulement arrivent les pratiques. Si de mauvais résultats sont obtenus pour certains indicateurs, les pratiques visant à améliorer le ou les états concernés seront modifiées.
Exemple du tableau de bord sur le résultat attendu :
un sol qui permet une bonne alimentation azotée des cultures.
Le projet Transi’Sols se termine fin 2026. Les différents tableaux de bord produits seront alors mis à disposition ainsi qu’un ensemble d’outils pour accompagner et faciliter la construction de nouveaux tableaux de bord (voir encadré ci-dessous).
Projet Transi’Sols, où en est-on ?Le projet Trans’Sols a débuté en 2022 et se terminera fin 2026. En collaboration avec des réseaux d’agriculteurs, les partenaires de Transi’Sols mettent en œuvre et développent une méthodologie d’accompagnement innovante dans six bassins de production en France, basée sur des tableaux de bord. Outre les tableaux de bord produits, un guide est en cours d’élaboration pour faciliter l’utilisation de l’approche des tableaux de bord ciblant des services attendus de la fertilité. Ce guide rassemblera :
Seront également disponibles à la fin du projet :
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Pour aller plus loinProjet Transi'Sols : des tableaux de bord qui évaluent les services attendus de la fertilité des sols - Une démarche en co-construction pour piloter la transition agroécologique (2023) Poster & Résumé Fertilité des sols : des tableaux de bord pour adapter ses pratiques pas à pas, Perspectives Agricoles 516 (2023). Présentation colloque 2024 International Soil Tillage Research Organisation Conference (Istro).
Webinaire RTTI - Les indicateurs opérationnels de fonctionnement des sols : retours d’expériences - 29 octobre 2024 |
Contacts : Anne-Sophie Perrin, as.perrin@terresinovia.fr et Cécile Le Gall, c.legall@terresinovia.fr
Désherbage mécanique en tournesol
Tout ce qui peut contribuer à limiter l’usage des pesticides répond à des attentes environnementales et sociétales. Le désherbage mécanique présente une alternative ou un complément crédible aux herbicides et aux mesures agronomiques préventives.
Passage de herse étrille
La lutte mécanique se prépare dès le semis du tournesol (préparation du sol, compatibilité d'écartement entre semoir et bineuse, légère augmentation de la densité pour la herse, etc.)
Réaliser un désherbage mécanique
Périodes d'intervention
En amont :
Soigner la préparation du sol et augmenter la profondeur et la densité de semis.
Au moment du passage :
Choisir d’intervenir tôt afin de viser des adventices jeunes. La houe et la herse sont efficaces qu’à des stades très précoces (fil blanc – cotylédon – 2 feuilles). La bineuse peut être efficace sur des adventices jusqu’à 3-4 feuilles.
Intervenir par temps séchant (la météo ne doit pas annoncer de pluie dans les jours suivants) et toujours sur un sol ressuyé. Contrôler les relevées d’adventices 8-10 jours après le passage.
Tester préalablement les outils sur une distance courte mais suffisante pour que la vitesse de travail soit atteinte. Ajuster les réglages des outils pour détruire le maximum d’adventices sans endommager le tournesol : adapter la profondeur de travail, l’inclinaison des dents de la herse et le choix des socs de la bineuse au comportement du sol (dureté et présence de cailloux notamment).
Ne pas hésiter à renouveler les passages pour détruire petit à petit la majorité des mauvaises herbes, mais également gérer les nouvelles levées.
Efficacité des outils en fonction du stade des adventices
| Stade adv | Herse étrille | Houe rotative | Bineuse* |
| Fil blanc (germination) | ++ | ++ | ++ |
| Cotylédons | ++ | ++ | ++ |
| 1F | ++ | ++ | ++ |
| 2F | + | - | |
| 3F | - | - | |
| 4F à 6F | 0 | 0 | + |
| >6F | 0 | 0 | 0 |
*efficacité de l'inter-rang pour la bineuse
| ++ | Bonne efficacité |
| + | Efficacité moyenne ou irrégulière |
| - | Efficacité insuffisante ou très aléatoire |
| 0 | Efficacité nulle |
Efficacité des outils en fonction des espèces d'adventices
| Herse étrille | Houe rotative | Bineuse | |
| Dicotylédones | ++ | ++ | ++ |
| Graminées | - | - | + |
| Quelques adventices difficiles : | |||
| Amarante réfléchie | ++ | ++ | ++ |
| Ambroisie | + | + | ++ |
| Coquelicot | ++ | ++ | ++ |
| Datura stramoine | + | + | + |
| Xanthium (Lampourde) | + | + | + |
| Ray grass | - | - | + |
| Vulpin | - | - | + |
| Folle avoine | 0 | 0 | + |
| Panic pied de coq | + | + | + |
| Sétaires | + | + | + |
| 0 | Inefficace |
| - | Efficacité insuffisante ou très aléatoire |
| + | Efficacité moyenne à faible |
| ++ | Efficacité bonne à moyenne |
Comparaison des outils de désherbage mécanique
Efficacités comparées des outils mécaniques (toutes situations pédoclimatiques confondues) :
La bineuse est légèrement plus efficace (rang et interrang confondus) que la herse étrille. La houe rotative a une efficacité décevante. Elle est cependant bien adaptée aux sols limoneux.
Comparaison des coûts
Comparaisons de coûts économiques, temps de travaux et IFT de différents outils de désherbage mécanique
Il y a d'autres moyens de gérer les mauvaises herbes, pour cela il faut se renseigner sur les leviers et méthodes de lutte agronomiques disponibles.
Pour en savoir plus sur la lutte mécanique en tournesol avec le binage et sur la lutte mécanique avec herse étrille ou houe rotative
Documents à télécharger
Irriguer son tournesol à bon escient pour assurer les quintaux
Par climat sec et sur terres à réserve en eau limitée, 2 apports d'eau de 35 à 40 mm à partir de la floraison garantissent un gain de 8 q/ha et de 2 à 4 points d'huile.
Une culture très tolérante aux conditions sèches
Si la structure du sol n’entrave pas sa croissance racinaire, le tournesol est capable d'exploiter les horizons les plus profonds (jusqu’à 2 m), et d'extraire la totalité de l'eau disponible, là où d'autres cultures ne peuvent extraire que les 2/3 de la réserve utile.
Le tournesol est également une plante qui répond bien à l’irrigation surtout si sa croissance végétative est modérée avant la floraison. Du tout début floraison à la fin du remplissage de la graine, le tournesol doit consommer 230 mm d’eau pour assurer un rendement de 30 q/ha. L’eau d’irrigation est particulièrement bien valorisée à cette période, lorsque la réserve en eau du sol est épuisée. Les essais et les observations en culture ont montré des gains moyens de l’ordre de 8 q/ha pour des apports de 100 mm avec une irrigation bien gérée.
Rendement du tournesol (q/ha) et intensité de la sécheresse estivale
Niveau de remplissage de la réserve d'eau utile du sol le 21 juillet en %
Lors d'années humides (2007 ou 2011), les rendements nationaux ont pu atteindre 27 q/ha
Lors d'années sèches (2006 ou 2010), les rendements moyens ont stagné à 22-24 q/ha.
Un à trois tours d'eau suffisent
Le tournesol irrigué présente deux atouts majeurs particulièrement intéressants lorsque l’eau disponible pour l’irrigation est limitée ou lorsque le calendrier d’irrigation de l’exploitation est chargé :
- de faibles volumes d’eau requis : 30 à 120 mm d’eau d’irrigation suffisent ;
- une période d’irrigation centrée sur juillet et début août.
Débuter l’irrigation suivant l’état végétatif du tournesol
Le choix de la date de début d’irrigation dépend de l’état de croissance végétative du tournesol avant la floraison et de l’état des réserves en eau du sol. Il est en effet nécessaire d’éviter l’exubérance des plantes avant la floraison : l’efficacité des arrosages s'en trouve améliorée. Arrêter l’irrigation quand le dos du capitule vire du vert au jaune citron.
Pilotage de l'irrigation
| Croissance au stade bouton | A disposition : | ||
| 1 tour d'eau 30/40 mm | 2 tours d'eau 60/80 mm | 3 tours d'eau 90/120 mm | |
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Faible à modérée
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Juste avant la floraison ou plus tôt si les feuilles de la base jaunissent |
Juste avant la floraison ou plus tôt si les feuilles de la base jaunissent Fin floraison |
Sols superficiels : Bouton étoilé Début floraison Fin floraison* Sols profonds : Début floraison Fin floraison 10 jours plus tard |
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Normale à exubérante
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Fin floraison |
Fin floraison 10 jours plus tard |
Ne pas dépasser 2 tours d'eau |
En sol profond, l’irrigation est justifiée uniquement en année sèche. Un tour d’eau en fin floraison est conseillé.
* Dans le Sud-Est (vallée du Rhône et bordure méditerranéenne), la forte évapotranspiration et la faible pluviométrie justifient souvent un tour d’eau supplémentaire 10 jours après la fin de la floraison.
Après la première irrigation, la durée du tour d’eau recommandée est d’une dizaine de jours, tant qu’il ne pleut pas. Après une pluie, décaler le tour d’eau d’un jour par tranche de 5 mm. Préférer des doses de 30-35 mm à chaque tour d’eau à des apports plus faibles et plus rapprochés.
Attention au sclérotinia et au phomopsis
- Ne pas irriguer en pleine floraison si le temps est humide, pour éviter les attaques de sclérotinia du capitule.
- Veiller particulièrement au phomopsis en choisissant une variété très peu sensible ou peu sensible, protégée si nécessaire par un traitement en végétation.
Evaluer la structure pour identifier le travail du sol adapté
L’évaluation de la structure du sol dans la culture précédente ou pendant l’interculture permet de déterminer si un travail du sol est nécessaire ou non; et le cas échéant, de définir la profondeur de travail du sol.
Prélèvement d’un bloc de sol à observer
Diagnostic de la structure par la méthode bêche
Quand : Avant lé récolte du précédent quand le sol est encore humide (mars à mai). Le diagnostic peut se faire plus tard mais le diagnostic est plus compliqué en sol sec.
Combien de prélèvements : idéalement 3 bêchées par parcelle
Comment prélever : voir le point technique ‘réussir son implantation pour obtenir un colza robuste
Comment observer :
- Observer d’abord le comportement du bloc de sol prélevé : se désagrège-t-il en terre fine majoritairement ? ou en gros blocs ? ou reste-t-il massif ?
- Observer ensuite l’état interne majoritaire des mottes en les cassant en 2 : sont-elles poreuses avec des faces angulaires ? ou non poreuses et avec des fasses de cassure lisses ? Sont-elle fissurées ?
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| Motte poreuse, non tassée (Gamma) | Motte tassée et fissurée (Phy) | Motte tassée sans porosité (Delta) |
Le diagnostic de la structure du sol donne une première indication indispensable pour identifier le type travail adapté. La prise de décision (choix des outils, nombre de passages, etc.) doit ensuite tenir compte du type de sol et des autres problématiques à gérer par le travail du sol (résidus du précédent, adventices, ravageurs du sol). ‘Décider du travail du sol en intégrant toutes les problématiques’
Plus d’informations sur la méthode bêche de diagnostic de la structure du sol et l’implantation du colza : le point technique ‘Réussir son implantation pour obtenir un colza robuste’.
Point technique
Réussir son implantation pour obtenir un colza robuste
Ce guide détaille les connaissances, stratégies et règles de décision qui permettent d’adapter les techniques culturales à chaque situation, afin de réussir l’implantation, et d’obtenir un colza robuste.
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Comprendre et observer la structure du sol : application à la prise de décision pour l’implantation du colza
Cette formation vous permettra de comprendre les facteurs qui influent sur les tassements et leur régénération ainsi que de savoir mettre en œuvre le test bêche pour évaluer la structure du sol et de l’interpréter pour optimiser l’implantation du colza.
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Ouvrage de référence
Ce premier ouvrage de référence synthétise les connaissances sur la plante, sa culture, sa transformation
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