Limaces : gestion des populations en cours de campagne

 

Pour rappel, les premiers leviers à mobiliser avant même le semis sont des leviers agronomiques.

 

Dégâts sur tournesol

Fréquence : forte en conditions humides. La présence de limaces est très dépendante des conditions climatiques.

Nuisibilité : moyenne à forte
Les limaces peuvent sectionner les jeunes tiges, entrainant le flétrissement et la mort des plantules ou consommer les cotylédons ou les jeunes feuilles. Les prélèvements foliaires sont nuisibles jusqu’au stade 3-4 feuilles.

Les premiers dégâts sont les plus pénalisants, les plantes attaquées étant perdues ou définitivement handicapées et les cotylédons trop largement entamés pour permettre une bonne croissance. Inversement, les plantes développées deviennent rapidement de moins en moins sensibles aux prélèvements effectués par les limaces.

Surveillance et action en cours de campagne

Être particulièrement vigilant sur les parcelles à risque. Si les conditions climatiques sont favorables au maintien de la fraîcheur en surface et si vous observez des limaces, réaliser un épandage d’anti-limaces en plein sur le sol, au moment du semis. Le traitement préventif, qui vise la préservation de la levée, est actuellement la seule manière de protéger efficacement des attaques de limaces les cultures de colza.

En cas de sol sec ou de levée réalisée, poursuivre la surveillance jusqu’au stade 3-4 feuilles. Si les précipitations interviennent et déclenchent l’activité des limaces en surface, appliquer rapidement un anti-limaces pour éviter à la culture de prendre trop de retard.

La reprise d’activité des limaces peut être échelonnée en cas de réhumidification progressive du sol. Il ne faut pas attendre d’un traitement molluscicide une efficacité totale.

Le piégeage, une bonne méthode d'identification

Disposer un abri sur la surface du sol (carton plastifié, tuile, soucoupe plastique, planche, etc.) ou, mieux, un véritable piège à limaces développé par l’INRAE et disponible auprès des sociétés phytosanitaires.

Protocole recommandé

  • Utiliser de préférence de vrais pièges limaces
  • Si possible positionner 4 pièges (pour couvrir une surface d’1 mètre carré) à au moins 10 mètres les uns des autres et à au moins 10 m de la bordure.
  • Avant la pose des pièges, les humidifier à saturation par un trempage préalable ;
  • Ne pas arroser le sol au moment de la pose pour avoir une vision du risque tel qu'il est au moment de la pose du piège ;
  • Poser les pièges la veille du relevé, de préférence en soirée pour éviter le dessèchement qui se produit dans la journée, face aluminium visible au-dessus du piège ;
  • Ne pas déposer d’appâts ;
  • Relever les pièges le lendemain matin avant la chaleur.
  • Déplacer les pièges de quelques mètres et les réhumidifier avant chaque nouvelle estimation.
  • Compter le nombre de limaces présentes. Il existe 2 espèces majoritaires nuisibles, la limace grise ou loche et la limace noire

Préserver la faune auxiliaire

Les Coléoptères prédateurs, certains Carabidés et Staphylinidés par exemple, jouent un rôle dans la régulation des populations de limaces. L’activité des adultes et des larves de Carabidés s’exerce préférentiellement au niveau du sol, aux dépens des oeufs et des jeunes limaces. Les cycles biologiques des Staphylinidés restent souvent mal connus et très variables selon les espèces. Ces auxiliaires sont à protéger.

En savoir plus sur les auxiliaires : projet AuxiMore/ARENA.

Les produits utilisables pour lutter contre les limaces (télécharger le fichier en fin d'article).

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Les ravageurs secondaires à l'automne

Les taupins (peu fréquent, très nuisible)

Depuis une dizaine d’années, on assiste à des attaques de taupins sur de nombreuses cultures. Quelques cas ont été signalés sur colza plus particulièrement dans le Sud-Ouest. Le colza n'est pourtant pas une culture connue comme sujette aux attaques. On ignore encore si ces attaques sont liées à une évolution des pratiques ou à de nouvelles populations de taupins à cycle de développement plus court.  

taupin colza

Symptômes : les plantules s'étiolent, entraînant la disparition des pieds dont les racines portent des lésions. 
Les parcelles à risque sont les parcelles avec présence avérée, antécédents d’attaques notamment sur maïs voire sur tournesol ou précédents favorables (prairie, culture fourragère ou légumineuse).
 
Lutte : deux microgranulés à base de lambdacyhalothrine (Trika Perfect et Trika Super) sont autorisés en traitement du sol en application dans la raie de semis (usage crucifères oléagineuses - traitement du sol – ravageurs du sol).
Pour protéger les organismes aquatiques, ces microgranulés doivent être entièrement incorporés dans le sol à une profondeur minimum de 4 cm, donc sans diffuseur.

Les noctuelles terricoles (peu fréquent, très nuisible)

Des attaques de noctuelles sont signalées. Elles rongent le collet de jeunes plantules de colza, entraînant leur étiolement. Afin de ne pas confondre ces attaques avec celles des taupins, rechercher les larves dans les premiers centimètres du sol. Ce ravageur secondaire sur colza peut entraîner de sérieux dégâts localement. 

noctuelles terricoles

En cas d’infestations importantes, il est possible d’intervenir sur végétation à l’aide d’un produit autorisé à base de cyperméthrine avec un volume de bouillie important. 

Surveillance des attaques de mouche du chou (fréquent, peu nuisible). 

La mouche du chou pond au collet des plantes. Les asticots rongent le pivot dans des galeries ouvertes mais parfois profondes. Le rendement peut être fortement affecté, notamment lorsque les pivots sont sectionnés (sur des colzas peu développés).

mouche du chou

Le risque étant plus élevé pour les levées précoces, éviter de semer avant les dates préconisées pour la région.  Plus aucun moyen de lutte chimique n'est disponible.

Surveillance et lutte contre les tenthrèdes de la rave (fréquent, peu nuisible).  

Les œufs sont insérés dans les bordures des cotylédons. Après s'être développées sans occasionner de dégâts très visibles, les larves devenues âgées se mettent à dévorer le limbe des feuilles. 

Les adultes peuvent être capturés en nombre dans les cuvettes mais cela ne présage en rien sur le niveau d’attaque par les larves.  

tenthrède de la rave

En cas de forte infestation larvaire, une dégradation rapide du feuillage peut être observée (évolution visible à l'oeil nu, au jour le jour). Une intervention peut alors être nécessaire. 

Attention : les attaques cessent d'elles-mêmes assez brutalement (les larves en fin de développement se réfugient dans le sol pour l'hiver). 

Stade sensible Observation Déclenchements des vols Seuil indicatif
De la levée au stade 6 feuilles inclus Observations des larves sur les plantes Automne chaud et sec ¼ de la surface foliaire consommé

Les teignes des crucifères : 

teignes des crucifères
dégâts teignes des crucifères

La chenille de la teigne des crucifères est mineuse (peu fréquent, non nuisible). Après 3-4 jours, elle file quelques fils de soie et mue, puis ronge la face inférieure des feuilles en respectant les nervures mais souvent avec perforations. Visible à l’automne et au printemps sur colza, mais sans incidence.

Piéride du chou 

Piéride du chou

L’adulte est un papillon blanc dont les ailes sont ornées de taches noires.  La chenille est de couleur grise verte avec des bandes jaunes et des points noirs. Les larves se nourrissent sur les feuilles périphériques des plantes et ne s’attaquent au cœur des plantes que si elles sont nombreuses. Aucune lutte chimique n’est nécessaire

Les baris (très fréquent, non nuisible) 

baris
dégâts baris sur colza

La baris est un charançon noir à reflet bleu vert de 2,4 à 5mm, sans poil. Sa nuisibilité est très faible et est principalement due aux larves qui se développent à l’intérieur de la racine principale. Les adultes sont capturés dans les cuvettes jaunes tout au long du cycle du colza. Aucun moyen de lutte n’est disponible et en outre, ne se justifie pas.  

Les charançons gallicoles 

charançons gallicoles
Dégâts hernie des crucifères

1. Attaque charançon gallicole sur colza, 2. coupe de galle liée à la hernie

Le charançon gallicole est présent très localement (Centre et Poitou-Charentes) où il est fréquent mais peu nuisible. Ailleurs, il est très peu fréquent. Il se reproduit à l’automne, déposent ses œufs et disparait lorsque la période froide s’installe. Les larves apparaissent à partir d’octobre. Les attaques sont considérées comme peu préjudiciables. Les galles perturbent la conduction de la sève. Les galles dégénérées peuvent constituer des points d’entrée pour les maladies et sensibilisent les plantes au gel. La lutte ne se justifie pas.  

Attention aux risques de confusion de symptômes entre la hernie et les galles provoquées au collet par le charançon gallicole. Sectionner les galles :

  • si présence de galeries et/ou de larves, il s'agit du charançon gallicole
  • si l'intérieur de la galle est plein, compact, parfois un peu spongieux, mais jamais creux, il s'agit de la hernie des crucifères.

Les ravageurs du colza sont tous régulés par de nombreux auxiliaires. Limiter les traitements insecticides autant que possible. Si un traitement se justifie, sur les insectes résistants, utiliser des produits efficaces au risque d’engendrer des pullulations d’insectes. 

Pour en savoir plus sur ces organismes, consulter l’article sur les auxiliaires

 

 
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Publication
Petit guide pratique
des ravageurs du colza

Conçus pour être glissés dans la poche, les petits guides pratiques proposent des fiches pour reconnaître insectes et maladies des cultures et leurs dégâts.

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Formation
Colza : de nouvelles stratégies pour limiter l’usage des insecticides

Certains secteurs sont concernés depuis plusieurs années par des impasses techniques dans la gestion des ravageurs d'automne du colza. Face aux problèmes en recrudescence (résistance des ravageurs aux pyréthrinoïdes, retrait de molécules...) il est nécessaire de mettre en œuvre des pratiques visant la robustesse de la culture, mais également de favoriser la régulation naturelle des ravageurs par les auxiliaires des cultures.

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Gestion en cours de campagne des grosses altises adultes (altises d’hiver)

 

OAD "Estimation du risque lié aux altises adultes"

Cet outil vise à estimer le risque lié aux prélèvements foliaires par les altises des crucifères et altises d’hiver adultes, pour des levées avant le 1er octobre.

Accéder à l'outil

 

Fréquence: forte 

Nuisibilité : forte (avant le stade 4 feuilles)

Biologie

L’altise d’hiver aussi appelée grosse altise (Psylliodes chrysocephala) est un gros coléoptère « sauteur » de 3 à 5 mm. Il présente un corps noir et brillant avec des reflets bleus métalliques sur le dos. Les extrémités des pattes, des antennes et de la tête sont roux dorés. 

Cet insecte, fréquent et très nuisible, occasionne des morsures circulaires, perforantes ou non de quelques millimètres dans les cotylédons et les jeunes feuilles (dégâts identiques aux petites altises).

grosse altise sur colza

Gestion

La lutte insecticide contre les altises adultes doit se raisonner à la parcelle et ne s’envisager que si la survie de la culture est menacée, du stade cotylédons jusqu’au stade à 3-4 feuilles du colza, c’est-à-dire si la culture pousse moins vite qu’elle n’est dévorée.

La meilleure parade est la mise en œuvre de tous les leviers permettant d’assurer une levée précoce de la culture pour atteindre 3-4 feuilles à l’arrivée des grosses altises, seuil au-delà duquel les plantes supportent les prélèvements foliaires (sauf plantes chétives).

Les captures dans les cuvettes jaunes (position enterrée) servent à détecter l’arrivée puis l’activité des altises d’hiver. Les pièges jaunes ne sont pas un outil de décision de traitement. C’est l’observation très régulière, à la parcelle, de l’état du colza entre les stades cotylédons et 3-4 feuilles étalées qui guide le raisonnement. Observer au crépuscule, ou mieux, dans l’obscurité si les altises sont actives.

Stade sensible Piégeage Déclenchement des vols Seuil indicatif
De la levée au stade 3 feuilles inclus

Cuvette jaune enterrée

Surveiller les attaques sur plantules quotidiennement

Chute puis remontée des températures maximales journalières au-dessus de 20°C

Vols autour du 20 septembre (variable selon les régions)

8 pieds sur 10 avec morsures ET 25% de surface foliaire consommé *

Les stades les plus jeunes sont les stades les plus sensibles.

Cas particulier du Sud-Ouest : 3 pieds sur 10 avec morsures SI levée après le 1er octobre.

* Plus qu’un seuil basé sur le  % de plantes avec morsures et le % de surface foliaire détruite, ce sont la vitesse d’accumulation des dégâts et la vitesse de croissance de la culture qui pris en compte quasiment quotidiennement  permettent de  bien appréhender ce risque altises adultes.

Afin de faciliter la prise en compte de ces différents critères et la dynamique de croissance du colza, un OAD est disponible en ligne Consulter l’outil « Colza Risque Ravageurs ».

<25% surface foliaire consommée - >25% de surface foliaire consommée

 

Le recours aux insecticides doit tenir compte du statut de résistance connu ou suspecté (cf.carte).

Etat des résistances des populations d’altises d’hiver : les pyréthrinoïdes restent efficaces contre la grosse altise sur une grande partie du territoire (partie en orange et hachuré) – mise à jour juillet 2024.

Si une intervention est nécessaire : 

  • Pour les régions à forte résistance généralisée aux pyréthrinoïdes (secteur rouge), la seule stratégie de gestion passe par un semis et une levée précoce.
  • Dans les secteurs où les résistances fortes ne sont pas généralisées (en jaune ou hachuré), intervenir avec un pyréthrinoïde en soirée (adulte actif en début de nuit). Cette intervention précoce sur les adultes n’aura que peu d’impact sur les infestations larvaires de novembre. Privilégier l’application d’une pyréthrinoïde classique (lambdacyhalothrine, deltaméthrine et cyperméthrine). En effet, si 3-4 jours après application, l’étofenprox est comparable aux pyréthrinoïdes classiques pour limiter les dégâts d’adulte, à 7 jours il est inférieur. L’esfenvalérate est déconseillé (inférieur aux pyréthrinoïdes classiques à 3-4 jours et à 7 jours).

Les ravageurs du colza sont tous régulés par de nombreux auxiliaires. Limiter les traitements insecticides autant que possible. Si un traitement se justifie, sur les insectes résistants, utiliser des produits efficaces au risque d’engendrer des pullulations d’insectes. 

Pour en savoir plus sur ces organismes, consulter l’article sur les auxiliaires

 

Pour en savoir plus sur l'état des résistances.

 

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Prestation
Insectes ravageurs : caractérisation de la sensibilité aux pyréthrinoïdes

Détermination de la sensibilité à la lambda-cyhalothrine de populations de grosses altises, de petites altises, de méligèthes, de différentes espèces de charançons du colza, et de différentes espèces de bruches (de la féverole, du pois ou de la lentille).

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Formation
Colza, de nouvelles stratégies pour limiter l’usage des insecticides

Face à la résistance des ravageurs aux pyréthrinoïdes, et au retrait de molécules, il est nécessaire de mettre en œuvre des pratiques visant la robustesse de la culture, mais également de favoriser la régulation naturelle des ravageurs par les auxiliaires des cultures.

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Prestation
Insectes ravageurs : caractérisation de la résistance aux pyréthrinoïdes par mutation kdr

Recherche par analyse moléculaire de mutations sur le gène du canal sodium responsables de baisse d’efficacité des pyréthrinoïdes chez des populations de grosses altises, de méligèthes, de différentes espèces de charançons du colza ou de bruches de la féverole.

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