Herbi1&NoPhy

Expérimentations de systèmes agroécologiques pour un usage des pesticides en ultime recours Biodiversité
French
Colza Tournesol Pois de printemps Pois d'hiver Pois chiche Lentille Soja Chanvre Féverole d'hiver Féverole de printemps Lin d'hiver Lin de printemps Lupin d'hiver Lupin de printemps Cameline

OFB

1 200 000€

60 mois Oui National

Les enjeux

Les différentes crises (Covid, guerre en Ukraine) ont posé la question de la nécessité d’accroître la souveraineté de la France en protéines et de réduire sa dépendance aux importations. Les consommateurs réclament, en outre, des productions plus locales et respectueuses de l’environnement. Or, la France dispose d’une filière colza structurée.

L’enjeu du projet Decoproze est donc de tester et déployer à l’échelle territoriale une solution de « colza avancé », qui doit permettre de contribuer à la souveraineté protéique de la France. Elle pourra constituer un levier de la transition agricole et de la souveraineté protéique de la France grâce à création de valeur à l’aval et à son partage à tous les maillons de la chaîne de production.

Les objectifs

Le projet vise à développer un démonstrateur de filière « colza avancé » permettant d' : 
•    Améliorer de 20 % la teneur en protéines des tourteaux de colza et de réduire de 25 % leur teneur en fibres.
•    Accélérer le déploiement de nouveaux modes de production à grande échelle grâce à des outils numériques facilitant la combinaison de leviers agronomiques.
•    Mettre en œuvre un modèle économique viable rémunérant les pratiques durables de produire un colza durable riche en protéines à travers des modes de culture agroécologiques. 

Les résultats attendus

•    Permettre à la filière colza française d’accroître significativement l’autonomie protéique de la France et de réduire la dépendance aux importations de soja;
•    Diminuer drastiquement les émissions de gaz à effet de serre et l’usage d’intrants chimiques et minéraux tout en améliorant la teneur en protéines; 
•    Permettre le développement de marchés valorisant la qualité et la durabilité. 

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Démonstrateur de filière durable de colza riche en protéines zéro émissions

Structurer et développer des filières agricoles durables avec l’agriculture régénérative

Développement d’une méthodologie de stratégies d’adaptation au changement climatique garantissant la multiperformance durable des systèmes de cultures pour les filières blé, colza, pois et orge

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Aurore Baillet - a.baillet@terresinovia.fr

01 janvier 2025 S'adapter au changement climatique Chambre régionale d’agriculture Grand Est En cours Non

Decoproze

Démonstrateur de filière durable de colza riche en protéines zéro émissions Biodiversité
French
Colza

BPI France

7 800 000€

54 mois Oui National

Les enjeux

Les différentes crises (Covid, guerre en Ukraine) ont posé la question de la nécessité d’accroître la souveraineté de la France en protéines et de réduire sa dépendance aux importations. Les consommateurs réclament, en outre, des productions plus locales et respectueuses de l’environnement. Or, la France dispose d’une filière colza structurée.

L’enjeu du projet Decoproze est donc de tester et déployer à l’échelle territoriale une solution de « colza avancé », qui doit permettre de contribuer à la souveraineté protéique de la France. Elle pourra constituer un levier de la transition agricole et de la souveraineté protéique de la France grâce à création de valeur à l’aval et à son partage à tous les maillons de la chaîne de production.

Les objectifs

Le projet vise à développer un démonstrateur de filière « colza avancé » permettant d' : 
•    Améliorer de 20 % la teneur en protéines des tourteaux de colza et de réduire de 25 % leur teneur en fibres.
•    Accélérer le déploiement de nouveaux modes de production à grande échelle grâce à des outils numériques facilitant la combinaison de leviers agronomiques.
•    Mettre en œuvre un modèle économique viable rémunérant les pratiques durables de produire un colza durable riche en protéines à travers des modes de culture agroécologiques. 

Les résultats attendus

•    Permettre à la filière colza française d’accroître significativement l’autonomie protéique de la France et de réduire la dépendance aux importations de soja;
•    Diminuer drastiquement les émissions de gaz à effet de serre et l’usage d’intrants chimiques et minéraux tout en améliorant la teneur en protéines; 
•    Permettre le développement de marchés valorisant la qualité et la durabilité. 

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Développement d’une méthodologie de stratégies d’adaptation au changement climatique garantissant la multiperformance durable des systèmes de cultures pour les filières blé, colza, pois et orge

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Frédéric Giraud - f.giraud@terresinovia.fr

13 juin 2022 S'adapter au changement climatique Saipol En cours Non

ARPEGE

Structurer et développer des filières agricoles durables avec l’agriculture régénérative Biodiversité
French
Colza

BPI France

17 700 000€

48 mois Oui National

Les enjeux

Le projet ARPEGE s’inscrit dans un contexte sociétal et environnemental visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre des pratiques agricoles, leur impact sur la biodiversité et l’utilisation de produits phytosanitaires, ainsi qu’à fournir une traçabilité de ces pratiques. 

Les objectifs

Le projet ARPEGE vise à structurer et développer des filières agricoles durables en s’appuyant sur les principes de l’agriculture régénérative. À travers une démarche collective réunissant coopératives, industriels, instituts techniques et startups, le projet cherche à expérimenter, co-construire et diffuser des solutions innovantes pour renforcer la résilience des filières agricoles, valoriser les producteurs engagés et offrir des produits à haute valeur ajoutée.

Les résultats attendus

•    La création de filières agricoles répondant au cahier de charges de l'agriculture régénérative d’Axereal et structurées, notamment autour du pois.
•    L’augmentation des volumes produits selon un cahier des charges durable (jusqu’à 30 000 t en 2026).
•    L’amélioration des pratiques agricoles : rendements stables, qualité des récoltes, rotations résilientes.
•    Le développement d’outils techniques pour accompagner les agriculteurs (protocoles, diagnostics, suivis).
•    La réduction de l’empreinte carbone des industriels grâce à des approvisionnements durables.
•    La valorisation des producteurs engagés dans la démarche et des produits issus de l’agriculture régénérative selon Axereal. 

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test

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Carolina Orellana Torrejon - c.orellana@terresinovia.fr

01 janvier 2024 S'adapter au changement climatique Axereal En cours Non

METALLIN

Etat actuel des contaminants métalliques dans les graines de lin en France et stratégies de maîtrise des risques sanitaires Biodiversité
French
Colza

FranceAgriMer

784 746,67€

42 mois Oui National

Les enjeux

Des études indiquent une contamination au cadmium plus ou moins forte des bassins de production du lin oléagineux. En 2022 et 2023, des rejets de lots français de graines de lin de l’ordre de 60% pour cause de non-conformité de teneur en cadmium ont été enregistrés pour les graines à destination de l’alimentation humaine. Les organismes stockeurs et les agriculteurs craignent de s’engager pour des débouchés en alimentation humaine, sans garantie que leurs graines seront conformes. Le risque de déclassement vers l’alimentation animale, avec une valorisation tarifaire inférieure, est trop important. Or, les réglementations évoluent rapidement pour prévenir les risques sanitaires. Cette lacune entrave la mise en place de stratégies de sélection efficace et souligne ainsi l’urgence d’intensifier la recherche dans cette thématique et de construire un modèle pertinent pour orienter les programmes de sélection.  

Les objectifs

  • Dresser le bilan des contaminants métalliques dans les sols et les récoltes des différents bassins de production du lin oléagineux ;  
  • Comprendre les déterminants des fortes et faibles accumulations des éléments traces métalliques (ETM) contaminants (As, Cd, Ni, Pb) par les graines de lin en France en lien avec les pratiques agricoles ;  
  • Mettre en place un outil de prédiction du risque de non-conformité à destination des agriculteurs ;  
  • Identifier les variétés de lin les moins accumulatrices de contaminants métalliques pour les recommander aux agriculteurs et aux filières ;  
  • Evaluer le potentiel génétique des lignées en cours de sélection vis-à-vis du potentiel d’accumulation de As, Cd, Ni, Pb ;  
  • Trouver des marqueurs moléculaires pour accélérer la sélection des lignées génétiques les moins accumulatrices de ces contaminants ;  
  • Participer au Plan de Surveillance des Oléo-protéagineux (PSO) et de se préparer aux durcissements de la réglementation sur les contaminants métalliques.  

Les résultats attendus

  • Mise en place d’un outil d’analyse des risques de non-conformité
  • Orientation des programmes de sélection pour anticiper les évolutions réglementaires 

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Démonstrateur de filière durable de colza riche en protéines zéro émissions

Structurer et développer des filières agricoles durables avec l’agriculture régénérative

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Zoé Le Bihan - z.lebihan@terresinovia.fr

01 octobre 2024 S'adapter au changement climatique GIE LINEA En cours Non

Qual-Ino

Evaluation et qualité des inocula microbiens pour la production végétale Biodiversité
French
Colza

Carnot P2P

48 000 €

12 mois Oui National

Les enjeux

Les cultures intermédiaires, cultivées entre deux cultures de rente et non récoltées, peuvent fournir de nombreux services écosystémiques à condition qu’elles s’implantent rapidement pour pouvoir être compétitives vis-à-vis des mauvaises herbes et produire une bonne quantité de biomasse. L'hypothèse principale du projet RICIN est que certaines espèces s'établissent mieux que d'autres lorsqu'elles sont semées en été dans des conditions non optimales (stress hydrique, lit de semis grossier avec ou sans mulch).

Pour tester cette hypothèse, une douzaine d'espèces appartenant à quatre grandes familles (Poacées, Fabacées, Hydrophyllacées et Brassicacées), peu ou pas étudiées à ce jour, seront identifiées et comparées sur la base des caractéristiques de leurs semences et de plantules ainsi que de leur tolérance au stress hydrique et aux contraintes mécaniques.

Le phénotypage bas et haut débit des cultures intermédiaires étudiées permettra d'acquérir des connaissances pour l'optimisation des performances. Outre la production des ressources scientifiques et techniques, le projet permettra de développer un outil d'aide à la décision ainsi que d’accroître la possibilité des collaborations avec (notamment) les semenciers sur ce front de recherche représenté par la caractérisation de la croissance hétérotrope de cultures intermédiaires.

Les objectifs

Le projet s’attache à mieux comprendre les facteurs qui affectent la réussite d‘implantation des cultures intermédiaires. L'hypothèse principale de Ricin est que certaines espèces de ces cultures s'établissent mieux que d'autres lorsqu'elles sont semées en été dans des conditions non optimales (stress hydrique, lit de semis grossier avec ou sans mulch).

Ainsi, le projet vise à acquérir des connaissances écophysiologiques sur une dizaine d’espèces de liées à la croissance hétérotrophe (germination des semences et émergence des plantules) par une étude d'écophysiologie comparative afin de mieux comprendre leur capacité à s’implanter, notamment dans des conditions hydriques limitantes.

Il vise également à déterminer le lien potentiel entre la qualité de l'implantation et le potentiel de production de biomasse dans des conditions de gestion contrastées (différents modes de semis, régimes d'irrigation, profondeur de semis etc.).

Il permettra également de proposer le développement d’un OAD pour déclencher les semis en prenant en compte un cumul de pluie nécessaire à la levée en fonction des espèces et de l’état du sol (structural et hydrique)

Les résultats attendus

  • Production de données écophysiologiques sur la croissance hétérotrophe (germination des semences et émergence des plantules) de 9 espèces de couvert végétaux, dans des conditions environnementales contrastées (stress hydrique et mécanique). 
  • Identification et hiérarchisation des facteurs influençant la qualité d’implantation sur 3 sites expérimentaux.
  • Création d’un prototype d’Outil d’aide à la décision.

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Outil d’aide à la reconnaissance des principales espèces de ravageurs dans les silos de céréales

Vers une meilleure compréhension des facteurs affectant la réussite d‘implantation de cultures intermédiaires

Combiner les leviers pour maîtriser l'enherbement et adapter leur conduite aux contextes pédoclimatiques de l'Ouest de la France en soja et lentille

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Xavier Pinochet - x.pinochet@terresinovia.fr

01 janvier 2023 S'adapter au changement climatique Terres Inovia Terminé Non

SYMBIOLEG

Caractérisation de souches de rhizobia efficaces dans la symbiose avec les légumes secs et mise au point d’une technologie d’enrobage des semences Biodiversité
French
Colza

FranceAgriMer

Non communiqué

29 mois Oui National

Les enjeux

Les cultures intermédiaires, cultivées entre deux cultures de rente et non récoltées, peuvent fournir de nombreux services écosystémiques à condition qu’elles s’implantent rapidement pour pouvoir être compétitives vis-à-vis des mauvaises herbes et produire une bonne quantité de biomasse. L'hypothèse principale du projet RICIN est que certaines espèces s'établissent mieux que d'autres lorsqu'elles sont semées en été dans des conditions non optimales (stress hydrique, lit de semis grossier avec ou sans mulch).

Pour tester cette hypothèse, une douzaine d'espèces appartenant à quatre grandes familles (Poacées, Fabacées, Hydrophyllacées et Brassicacées), peu ou pas étudiées à ce jour, seront identifiées et comparées sur la base des caractéristiques de leurs semences et de plantules ainsi que de leur tolérance au stress hydrique et aux contraintes mécaniques.

Le phénotypage bas et haut débit des cultures intermédiaires étudiées permettra d'acquérir des connaissances pour l'optimisation des performances. Outre la production des ressources scientifiques et techniques, le projet permettra de développer un outil d'aide à la décision ainsi que d’accroître la possibilité des collaborations avec (notamment) les semenciers sur ce front de recherche représenté par la caractérisation de la croissance hétérotrope de cultures intermédiaires.

Les objectifs

Le projet s’attache à mieux comprendre les facteurs qui affectent la réussite d‘implantation des cultures intermédiaires. L'hypothèse principale de Ricin est que certaines espèces de ces cultures s'établissent mieux que d'autres lorsqu'elles sont semées en été dans des conditions non optimales (stress hydrique, lit de semis grossier avec ou sans mulch).

Ainsi, le projet vise à acquérir des connaissances écophysiologiques sur une dizaine d’espèces de liées à la croissance hétérotrophe (germination des semences et émergence des plantules) par une étude d'écophysiologie comparative afin de mieux comprendre leur capacité à s’implanter, notamment dans des conditions hydriques limitantes.

Il vise également à déterminer le lien potentiel entre la qualité de l'implantation et le potentiel de production de biomasse dans des conditions de gestion contrastées (différents modes de semis, régimes d'irrigation, profondeur de semis etc.).

Il permettra également de proposer le développement d’un OAD pour déclencher les semis en prenant en compte un cumul de pluie nécessaire à la levée en fonction des espèces et de l’état du sol (structural et hydrique)

Les résultats attendus

  • Production de données écophysiologiques sur la croissance hétérotrophe (germination des semences et émergence des plantules) de 9 espèces de couvert végétaux, dans des conditions environnementales contrastées (stress hydrique et mécanique). 
  • Identification et hiérarchisation des facteurs influençant la qualité d’implantation sur 3 sites expérimentaux.
  • Création d’un prototype d’Outil d’aide à la décision.

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Zoé Le Bihan - z.lebihan@terresinovia.fr

01 juin 2023 S'adapter au changement climatique Semences de Provence En cours Non

RESIBRUCHE

Validation des régions génomiques impliquées dans la résistance aux bruches chez la féverole et identification des mécanismes sous-jacents Biodiversité
French
Colza

ANR Carnot

150 000€

36 mois Oui National

Les enjeux

Les bruches sont des coléoptères qui altèrent la qualité visuelle des graines de légumineuses et les rendent impropres à la consommation. Or, la dégradation de la qualité des graines, à la suite du retrait de molécules efficaces pour lutter contre les bruches, a notamment eu un impact sur les débouchés de la féverole. S’il n’existe actuellement plus aucun moyen de lutte chimique efficace en végétation, les solutions qui existent au stockage sont peu utilisées ou mal maîtrisées. Le recours à la génétique pour développer des variétés résistantes aux bruches est donc nécessaire. Des locus de caractère quantitatif (QTL) liés à la résistance aux bruches ont été identifiés dans des études génétiques récentes où plusieurs sources de résistance ont été identifiées. Pour que ces ressources soient utilisées par les sélectionneurs, une étape de validation des QTL et de leurs marqueurs associés est nécessaire.  

Les objectifs

Le projet RESIBRUCHE vise à valider les QTL par la création et l’évaluation de lignées quasi-isogéniques portant à chaque fois un ou plusieurs QTL. Il vise aussi à démontrer le gain de résistance que ces QTL peuvent conférer dans des variétés récentes, avec des étapes de création de matériel et d’évaluation. Les mécanismes contrôlés par certains QTL seront également étudiés, ce qui aidera à mieux gérer l’innovation variétale en apportant des éléments sur la durabilité de la résistance. Ces travaux devraient ainsi permettre d’accélérer la création de variétés moins sensibles aux bruches. 

Les résultats attendus

  • Valider les effets des principaux QTL de résistance aux bruches identifiés par cartographie et/ou génétique d’association dans les projets scientifiques PeaMUST et ProFaba ;
  • Fournir des outils et des informations pour accélérer la sélection de la féverole pour la résistance aux bruches et aboutir plus rapidement à l’inscription de variétés résistantes. 

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Véronique Biarnès - v.biarnes@terresinovia.fr

01 janvier 2022 S'adapter au changement climatique INRAE En cours Non

PEAMAGE

Identifier des variables physiologiques pour une prédiction rapide et précoce de la tolérance au gel du pois protéagineux Biodiversité
French
Colza

CASDAR

??? ???€

29 mois Oui National

Les enjeux

Le pois protéagineux fait partie des légumineuses à graines dont la culture est indispensable dans le contexte de la transition agroécologique et alimentaire. Leur insertion dans les rotations fournit d'importants services écologiques qui peuvent contribuer à produire, d'une manière économiquement et écologiquement durable, des aliments sains et de haute qualité pour les hommes et les animaux. Dans ce contexte, PEAMAGE répond à deux enjeux prioritaires :  

  • Acquérir des informations sur la résilience des nouvelles variétés face aux aléas climatiques ;
  • Développer l’utilisation de nouveaux outils de phénotypage dans l’évaluation des variétés. 

Les objectifs

Quelles mesures du potentiel photosynthétique et du stress subi par l'appareil photosynthétique à basse température sont les plus révélatrices de la variabilité génétique associée à la capacité d'acclimatation au froid et à la tolérance au gel chez le pois ? En répondant à cette question, PEAMAGE vise à caractériser six génotypes de pois représentant une large gamme de tolérance au gel.   

Les résultats attendus

  • Quantifier l'importance du maintien du potentiel photosynthétique à basse température dans le processus d’acclimatation au froid
  • Identifier des mesures objectives de la résilience de l'appareil photosynthétique au froid
  • Sélectionner, parmi ces mesures, celles qui permettront de cribler rapidement de grandes populations pour des études génétiques et pour la sélection. 

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Véronique Biarnès - v.biarnes@terresinovia.fr

01 mars 2022 S'adapter au changement climatique INRAE UMRT En cours Non

OPTILEG

Optimisation des interactions microbiennes pour une production durable de protéines de légumineuses Biodiversité
French
Colza

ANR

10 100 000€

72 mois Oui National

Les enjeux

L'ambition du projet OPTILEG est de contribuer significativement à la durabilité environnementale et à l'amélioration de la santé humaine par une production innovante et efficiente de protéines de légumineuses. Il vise à répondre à plusieurs enjeux :

  • Environnemental : il y a une nécessité urgente de réduire l'empreinte écologique de l'agriculture, notamment les émissions de gaz à effet de serre comme le N2O, tout en améliorant la santé des sols et la biodiversité. Le projet s'inscrit dans une démarche de transition agroécologique, visant à développer des pratiques agricoles plus durables.
  • Economique et alimentaire : la demande croissante de protéines végétales de haute qualité est un autre enjeu majeur. En Europe et en France, les protéines de légumineuses comme le pois et la lentille sont particulièrement recherchées pour leur bénéfice nutritionnel et leur capacité à enrichir les systèmes de culture grâce à la fixation de l'azote.
  • Scientifique et technique : il faut lever les verrous principaux concernant la compréhension et l'optimisation des interactions microbiennes bénéfiques pour les légumineuses, la résilience au stress hydrique, et l'amélioration des pratiques agronomiques. Il faut aussi surmonter les défis liés à la sélection variétale, à l'inoculation microbienne et aux pratiques culturales pour maximiser la production et la qualité des protéines. 

Les objectifs

L'objectif global du projet OPTILEG est d'optimiser les interactions des légumineuses avec les microorganismes bénéfiques du sol pour favoriser la production de protéines à faible niveau d'intrants (fertilisants et pesticides) tout en apportant des co-bénéfices pour l'environnement et la santé. Les principales cibles du projet sont le pois et la lentille, deux sources majeures de protéines pour l'alimentation humaine en France

Ces résultats viseront à fournir des recommandations concrètes pour les producteurs de pois et de lentilles en France à court et moyen termes, renforçant ainsi les transitions agroécologiques et alimentaires en augmentant la part des protéines végétales dans l'alimentation humaine. 

Les résultats attendus

  • Amélioration des stratégies d'inoculation : sélectionner des communautés microbiennes synthétiques simples qui offrent des services multiples, incluant la nutrition (azote, phosphore) et la protection (contre la sécheresse et les ravageurs). ​
  • Nouvelles connaissances et outils de sélection pour la résilience à la sécheresse : OPTILEG mettra au point des stratégies et des outils de sélection innovants pour améliorer la résilience des pois et des lentilles au stress hydrique.  
  • Stabilisation des performances agronomiques et de la production de protéines à faible intrant : le projet identifiera les pratiques culturales principales et les conditions pédoclimatiques qui favorisent ou limitent la symbiose et les services associés.  

Ces résultats permettront de concevoir des idéotypes avec des pratiques culturales associées pour optimiser leurs performances et promouvoir leur insertion dans les systèmes de culture.  

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Véronique Biarnès - v.biarnes@terresinovia.fr

01 janvier 2024 S'adapter au changement climatique INRAE Bourgogne France Comté En cours Non

LETSPROSEED

Accroitre la consommation des protéines de légumineuses en améliorant leur qualité et transformation sans compromettre la résistance aux stress. Biodiversité
French
Colza

FranceAgriMer

9 800 000€

72 mois Oui National

Les enjeux

L'augmentation de la consommation de protéines végétales, en particulier celles des légumineuses, est une réponse aux préoccupations environnementales et nutritionnelles actuelles. Cependant, plusieurs défis persistent, tels que la qualité des protéines, leur digestibilité, et l'acceptabilité sensorielle des produits finis. Le projet LETSPROSEED s'inscrit dans le cadre de la promotion de l'utilisation des protéines de légumineuses dans la nutrition humaine.  

Les objectifs

L'objectif global du projet LETSPROSEED est de promouvoir l'utilisation des protéines de légumineuses dans la nutrition humaine en améliorant la qualité des graines et les processus de transformation, tout en maintenant la résistance des cultures aux stress biotiques et abiotiques. Ce projet se concentre sur l'amélioration de la qualité des protéines des légumineuses et leur acceptabilité afin de répondre aux défis nutritionnels et environnementaux actuels​. Il répond aux défis de la production, de la transformation et de la consommation des légumineuses pour en faire une source de protéines plus attractive et durable​.  

Les résultats attendus

  • Améliorer la qualité des graines de légumineuses : développer des variétés de légumineuses avec une meilleure qualité des graines sans compromettre leur résistance aux stress environnementaux.  
  • Optimiser les processus de transformation : mettre au point des méthodes et des outils pour améliorer la transformation des légumineuses en produits alimentaires, en tenant compte des propriétés physico-chimiques des protéines végétales et de leur acceptabilité sensorielle.
  • Augmenter la consommation des protéines de légumineuses : promouvoir l'utilisation des légumineuses dans l'alimentation humaine en améliorant la qualité et la transformation des produits à base de légumineuses pour les rendre plus attractifs pour les consommateurs.
  • Assurer la traçabilité et la qualité tout au long de la chaîne de valeur : développer une approche systémique allant de la ferme à l'assiette pour garantir la traçabilité et la qualité des produits à base de légumineuses.
  • Faciliter la communication et le transfert de connaissances : assurer une communication efficace entre les partenaires du projet, le public et les différents acteurs de la chaîne de valeur, incluant les producteurs de semences, les coopératives agricoles, les producteurs d'ingrédients et les entreprises de l'industrie alimentaire.
  • Valoriser les services environnementaux : innover sur le plan organisationnel pour valoriser les services environnementaux rendus par les cultures de légumineuses, tels que la fixation de l'azote dans le sol. 

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Démonstrateur de filière durable de colza riche en protéines zéro émissions

Structurer et développer des filières agricoles durables avec l’agriculture régénérative

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Véronique Biarnès - v.biarnes@terresinovia.fr

01 janvier 2023 S'adapter au changement climatique INRAE Bourgogne France Comté En cours Non