Le métier
Missions
- Concevoir des algorithmes de traitement de données
- Améliorer le fonctionnement de la logistique de données
- Gérer et programmer les capteurs et les drones
- Réaliser une veille technique des nouvelles technologies disponibles
Formation
- Bac +4/5 en nouvelles technologies
Compétences
- Maîtrise de l’analyse de données et de la modélisation statistique
- Maîtrise dans la programmation informatique et de capteurs
- Connaissances en drones et en images de télédétection
- Connaissance en agronomie
- Pilotage de drones
Savoir-être
- Sens de la rigueur
- Esprit curieux
- Sens de l'écoute de la communication
Ils en parlent
Avec la double compétence d’ingénieur agronome et de spécialiste des données, Jean-Eudes Hollebecq accompagne les collaborateurs de Terres Inovia sur la prise en main des différents outils numériques dont l’institut dispose et conçoit aussi des outils qui n’existent pas encore.
"Après deux années de classes préparatoires, je suis entré à l’école d’agronomie de Rennes. J’ai ensuite fait une spécialisation en data sciences. J’ai donc la double compétence d’ingénieur agronome et de spécialiste des données. Avant d’entrer chez Terres Inovia, j’ai travaillé à l’INRAe de Montpellier sur les statistiques en agronomie.
J’accompagne les collaborateurs de Terres Inovia sur la prise en main des différents outils numériques dont l’institut dispose en les intégrant dans un protocole, par exemple pour l’utilisation de drones ou de capteurs d’images. Je conçois aussi des outils qui n’existent pas encore. Actuellement, je développe un outil pour compter les larves de ravageurs avec la méthode berlèse en utilisant l’intelligence artificielle pour permettre aux collègues et partenaires présents sur le terrain de gagner du temps. Je fais aussi de la production de données, comme l’analyse d’images et de statistiques issues des nouvelles technologies, par exemple sur un algorithme qui permet de mesurer des surfaces foliaires de soja à partir d’une simple photo. Une partie de mes missions consiste aussi à nouer des partenariats pour l’élaboration de ces nouveaux outils.
Ce qui est passionnant, c’est de chercher des solutions qui seront adaptées à des situations concrètes et utilisées par les agriculteurs. Dans un institut de recherche appliquée, on transforme des recherches théoriques en innovations pratiques. Pour moi, c’est ça le métier d’ingénieur : résoudre des problèmes et explorer des hypothèses".
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