Les projets In Petto 1 et 2, menés par Terres Inovia, Sofiprotéol et l’université de Caen, ont étudiés l’impact des pratiques culturales sur la qualité des graines de la crucifère. L’objectif est de proposer des variétés qui répondent à la demande : hautes teneurs en huiles et en protéines, rendements élevés et qualité protéique. Ce dernier point reste encore à creuser.
Le choix de variétés performantes et adaptées est un levier crucial pour améliorer la compétitivité des cultures de lentille et pois chiche. Comment améliorer les variétés actuelles et en créer de nouvelles qui puissent s'adapter aux différents contextes pédoclimatiques et mieux résister aux bioagresseurs ? Revisionnez le Jeudi de TI dédié.
Jeudi 14 décembre a eu lieu la présentation des projets des équipes présélectionnées pour le Cap Protéines Challenge 3. Voici les 5 finalistes qui ont particulièrement suscité l'intérêt du jury et qui participeront à la finale le 14 mai à l'ESA d'Angers.
La 25e édition des journées francophones sur la lutte contre les mauvaises herbes s'est tenue du 5 au 7 décembre à Orléans. Organisé par Végéphyl, l’événement a réuni 250 participants de tous horizons, dont Terres Inovia avec trois représentants.
Les interventions mécaniques – associées ou non aux herbicides – pour maîtriser le salissement des parcelles s’intègrent plus facilement dans les cultures de printemps. L’objectif de Terres Inovia est de valider des stratégies efficaces, peu onéreuses et qui minimisent l’indice de fréquence de traitement.
Une même tendance est observée en pois de printemps et en féverole de printemps : les variétés les plus performantes sont récentes, même lorsque le contexte pédoclimatique ne leur est pas favorable.
Le diagnostic agronomique s’appuie sur un panel de critères, dont l’indice de nutrition azotée. Ce dernier est un indicateur précoce du développement d’une culture du pois d’hiver et de printemps. Il permet de détecter les parcelles qui auraient subi des stress précoces et qui pourraient ne pas atteindre leur potentiel de rendement.
Dans le cadre du Plan France 2030, l’institut a répondu à l’appel à projets « Protéines de légumineuses ». Terres Inovia est ainsi mobilisé dans la stratégie nationale de diversifier les sources de protéines pour contribuer à une alimentation durable favorable à la santé.
L'édition nationale du numéro de décembre, avec cinq articles consacrés aux oléoprotéagineux, est en ligne et consultable dès à présent.
Terres Inovia participe à ce projet interdisciplinaire, piloté par INRAE, pour fournir des leviers agronomiques, génétiques et technologiques afin d’améliorer la qualité et la production de légumineuses. Financé par l’ANR, ces travaux seront menés pendant six ans. Un accent particulier sera mis sur la féverole, sous-utilisée en alimentation humaine.
Elle rassemble la majeure partie des essais menés par les professionnels agricoles de la région.
Lors des 4èmes Rencontres Oléopro, qui se sont déroulées à Montrouge (Hauts-de-Seine) le 29 novembre, Terres Inovia a valorisé une partie des travaux et des partenariats qu’il tisse sur la scène internationale.
Durant trois années, une doctorante a bénéficié d’un financement de Nantes Université et de Terres Inovia pour travailler sur le rôle des microorganismes des sols dans l’interaction entre l’orobanche rameuse et le colza d’hiver.
Ce projet qui vient de démarrer est coordonné par Terres Inovia et financé par FranceAgriMer. Il vise à contribuer à l’autonomie protéique des élevages par le développement de la pratique du toastage des matières premières.
Lors de ce colloque, qui s’est déroulé du 7 au 9 novembre à Versailles, Terres Inovia a pu présenter quelques travaux de son Département de transformation et de valorisation des graines.